Trump désigne le groupe Antifa comme des terroristes

Catégorie : Média information

Eh que ça fait plaisir à entendre, les Antifas terroristes, ben coudonc, mon voeu s'est exaucé , depuis le temps que j'en parle, et que j'attends ça,  enfin!

Les Manchettes à dénoncer à maintes reprises les Antifas, déjà évidemment c'était clairement un groupe de terroristes, c'était une question de temps avant que Trump prenne cette décision.   J'ai relancé plusieurs fois Trump sur Twitter X sur ses paroles avant d'être élu pour une deuxième fois président.

Mes amis sachez qu'il y a un groupe de terroristes à Montréal, protégé par certaines personnes en politique, oui, oui, je ne vous nommerais pas le nom de certaines personnes en politique active  , mais pour moi , il n'y à pas de doute, ils sont contrôlés.

Mais encore plus, les médias de mèches avec certains Partis politiques protégeaient ce groupe, il était rare de les voir condamné leurs actes terroristes! et qui au juste les finances ?

Il existe même un site web de l’organisation terroriste «Montreal Counter Information» tout ce qu'ils posent comme actes terroristes est affiché.

Le fait de désigner les groupes Antifas comme organisation terroriste signifie pas exactement que le Canada va suivre immédiatement, mais je pense que le Canada n'aura pas d'autre choix que d'aller dans la direction de Trump.

Bien sûr, les Antifas vont tenter de trouver d'autres choses pour continuer leurs actes terroristes, mais je pense que c'est une bataille perdue d'avance.

Plus

Le Réseau terroriste des Fascistes postmodernes, très organisé à Montréal, avec des bases organisationnelles dans différents quartiers, dans les Universités et Cégep, etc., dispose aussi de prolongements dans la plupart des régions du Québec. Il s’est doté d’une «#Police_politique», «#Montréal_antifasciste» (sic), qui est dirigée par un certain «Bernie» (sic)!

Son passe-temps, avec ses associés : le «#doxxage»! Il s’agit de constituer des «#fiches_de_police» sur des citoyenn-e-s indépendantistes, pro-laïcité, féministes, etc.,et sur tous les opposants à ce #Néofascisme qui s’allie à l’#Islamisme conquérant !
Ces «fiches de police» comprennent un ensemble d’informations destinées à nuire à des personnes ciblées («#doxxées») : nom, adresse résidentielle et de travail, photographies diverses (en particulier dans un contexte militant…), affiliations politiques et sociales, relations avec d’autres personnes, ainsi que toute information utile à des actions malveillantes.

Ma «fiche de police» comprend même une référence à mes talents musicaux (à voir sur le site de la «Police» néofasciste) !

Dans certains cas, ces fiches servent à préparer et perpétrer des agressions physiques, ou du vandalisme et même des incendies et saccages de biens privés (individuels, commerciaux, industriels, politiques, etc.). Le savoir-faire technique (fabrication de cocktails molotov, sabotage industriel, etc.) et l’appel à ces actions criminelles est effectué par un «organisme partenaire», «#Montreal_Counter_Information», qui publie ensuite les résultats de ces opérations qui prennent à l’occasion un caractère de terrorisme de basse ou moyenne intensité ! «Montreal Counter Information» publie aussi sur son site, associé au réseau terroriste international «325», de très nombreuses photos («doxxage») de citoyenn-e-s du Québec !

Ces fiches servent aussi à des opérations de diffamation de personnes ciblées : ces interventions sont effectuées directement par la section «Police politique» («Montréal antifasciste», sic), ou par des individus servant de relai au «doxxage» (via les médias sociaux, et même via des médias d’«information» complaisants...). Cette diffamation est souvent associée à la tentative de faire perdre son emploi à la personne «doxxée». J’ai subi une telle diffamation de la part d’un de ces relais (un professeur de philosophie m’associant au «nazisme» !), mais il a, évidemment, échoué dans sa tentative de me faire congédier !
*
En 2019, une opération «policière» («doxxage») de grande envergure, pour ficher les militant-e-s pro-Laïcité !
En 2019, alors que le gouvernement du Québec, sur la base d’un large consensus, établit des normes relatives à la neutralité de l’État et de ses Institutions, la «Loi sur la laïcité de l'État» (Loi 21), la «Police politique» («Montréal antifasciste» - sic) des Fascistes postmodernes lance une opération massive de «doxxage» de citoyens pro-Laïcité, via le site terroriste «Montreal Counter Information» : «Collabos de la CAQ, garde à vous !» (cf. la saisie d’écran) :
«Toute politique gouvernementale ne prend effet qu’à travers ceux et celles qui l’appliquent et qui y collaborent. C’est pourquoi nous lançons un appel à identifier ceux et celles qui, dans les établissements publics, participent à l’application de cette loi. […]
Nous vous invitons à nous transmettre les informations dont vous disposez sur celui ou celle qui applique la loi (nom, organisme, poste, photo, etc.) avec une description de ses actions et leurs conséquences à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.. Nous ferons nos propres recherches pour pouvoir ensuite publier le plus d’information possible sur la personne donnant acte au racisme d’État.»

Ce sinistre appel à la délation ne semble pas avoir ému les défenseurs des «Droits et Libertés», ni les syndicats dont les membres sont visés par des actions malveillantes et éventuellement violentes ! Il n’a pas été relevé par les médias, et n’a pas été dénoncé par les élus ayant à représenter les citoyens !
*
La collaboration de la «Police politique» néofasciste et du Réseau des Milices de Fascistes postmodernes (entités montréalaises et régionales : MCI, RASH, BASH, PL, ORA, CLAC, COBP; QA, AFL, CEG, RLBN, DN, etc.; Montréal, Québec, Laurentides, Saguenay-Lac-Saint-Jean, Gaspésie, Estrie) avec certaines «agences» ?

L’expérience du mouvement nationaliste depuis une cinquantaine d’années, ne permet pas d’écarter la possibilité que cette «Police politique» et son Réseau milicien régionalisé, aient des liens de collaboration avec certaines «agences», fédérales entre autres, qui auraient tendance à considérer négativement les indépendantistes québécois, les militants pro-laïcité, les opposants à l’islamisme, les défenseurs du français comme langue officielle du Québec, etc. !

À cet effet, il est utile de se référer au «Rapport de la Commission d'enquête sur des opérations policières en territoire québécois», publié par le Ministère de la Justice du Québec en 1981. Si l’Histoire ne se répète pas à l’identique, les rapports conflictuels entre l’État canadien et la nation québécoise sont toujours d’actualité, notamment, sur le plan judiciaire, avec les enjeux de la langue et de la laïcité !

Les opérations d’infiltration et de déstabilisation du mouvement indépendantiste québécois, qui ont été menées dans les années 1970, prennent sans doute des formes plus discrètes et sophistiquées que le fameux «Coup de la Brink's», mais il serait naïf, alors que le Parti québécois est en voie de gagner les élections de 2026, de s’imaginer qu’elles sont «choses du passé».

On peut, par exemple, s’interroger sur la nature et les influences d’un obscur groupe clandestin (associé aux milices néofascistes), qui tente de s’infiltrer dans le mouvement indépendantiste, en brandissant la symbolique du FLQ et celle du FPLP (organisation terroriste palestinienne, responsable d’attentats sanglants, et qui a participé aux massacres du 7 octobre 2033…). Rappelons que ce groupe d’individus masqués a tenté par la violence, de déstabiliser la Marche des Patriotes à Montréal, le 19 mai 2025 !

Par ailleurs, la promotion du «doxxage» des citoyens par certains médias (La Presse, etc.), si elle témoigne d’une dérive du «journalisme», ne résulte-t-elle pas de certaines influences ? En 2020, le média d’État, CBC-Radio-Canada, s’est livré à une navrante opération de promotion de cette «Police politique» («Montréal antifasciste» - sic), avec son chef, «Bernie», et deux collaborateurs, intégralement masqués : Qui a organisé ou autorisé une telle promotion d’un groupe clandestin et factieux ?

L’existence de rapports entre les institutions policières et les organisations «militantes», ne relève pas d’une «vision complotiste», mais souvent, très simplement, de considérations pratiques de «bonne gestion de l’ordre public» (manifestations, etc.). 

Cependant, ces rapports (cf. les rapports entre les groupes «antifas» et la GRC depuis les années 1980, etc.) peuvent prendre des tournures anormales et idéologiques, notamment à la faveur de la dérive fascisante de ce qui était, dans les années 1980-90, un mouvement «antifasciste» : Ce qui s’est développé au Québec, dans cette dérive, notamment à travers les institutions collégiales et universitaires, c’est un réseau milicien clandestin (instrumentalisé ?), véhiculant un imaginaire factieux et apocalyptique (Manifestes du «Comité Invisible», etc.), et une propagande qui apparaît, de plus en plus clairement, comme un fascisme postmoderne (et anti-moderne, de par ses liens avec l’islamisme, son combat contre le féminisme et la laïcité, contre le Québec moderne…) !

Comme ce fut le cas pour les groupes «marxistes léninistes» qui ont sévi au Québec dans les années 1970, infiltrés par la GRC (groupe «En Lutte !», etc.), le Réseau québécois fasciste postmoderne est dominé, sur le plan idéologique et organisationnel, par des éléments anglophones, du Québec, et du Canada anglais. On en a eu un triste exemple, à Québec, le 20 août 2017, lorsque des miliciens venus de l’Ontario ont attaqué et blessé gravement, avec une sauvagerie animée par la haine de tout ce qui est québécois, des citoyens indépendantistes !
*
Délateurs et «photographes-policiers»

Préfigurant une société dominée par un régime fasciste, cette «Police politique» dispose d’un ensemble de délateurs, qui sont à l’occasion des collègues de travail…, ou dans d’autres cas des individus infiltrés dans nos mouvements, dans nos réunions ou rassemblements. Parmi ceux-ci, on retrouve des «photographes-policiers» qui participent à l’élaboration des fiches individuelles de «police».

On aura ainsi remarqué la présence d’un de ces «photographes-policiers» à la Marche des Patriotes, à Montréal, le 19 mai 2025. Le même individu a tenté de faire du fichage photographique à la «Manifestation pour le respect de nos lieux patrimoniaux», devant la Basilique Notre-Dame, le 20 juillet 2025.

Par ailleurs, ayant travaillé comme sociologue sur le mouvement skinhead néonazi des années 1980-90, je constate que le «doxxage» des Fascistes postmodernes est si semblable à celui des néonazis, que l’on peut se demander s’il n’y a pas là un cas de plagiat !
*
Neutraliser et éradiquer la «Police politique» des Fascistes postmodernes, démanteler leur Réseau terroriste !

Ces opérations de fichage politique de citoyenn-e-s, si elles sont éthiquement condamnables, ont aussi un caractère illégal lorsqu’il est question de diffamation, voire criminel lorsqu’il s’agit d’agressions, de vandalisme, d’incendies, de sabotage, etc. Le caractère anonyme et clandestin de ce fichage et de ces méfaits, ne constitue pas un rempart contre une nécessaire répression de la part de l’État, et une vigilance de la part des citoyenn-e-s et des institutions démocratiques ! Le silence de la «Ligue des Droits et Libertés», mais aussi la plupart des médias, des partis politiques et des syndicats, à ce sujet, n’est pas rassurant !

En 2021, ce sont des interventions de la police néerlandaise, en collaboration avec la «Counter Terrorism Unit» britannique, qui ont abouti à la saisie du serveur hébergeant les données stratégiques de l’entité clandestine-terroriste «Montreal Counter Information» ! Cependant, «Montreal Counter Information» (sous enquête du SPVM…) a simplement déplacé l’hébergement de ses données, et cette organisation continue ses activités criminelles : publicisation de techniques de sabotage, de vandalisme, d’incendie, d’agressions; appels à ces actions et revendications des méfaits perpétrés ! Le coordonnateur de cette organisation est un individu radicalisé en prison, spécialiste des techniques de camouflage informatique : n’est-il pas un «sujet d’intérêt», que l’on aperçoit d’ailleurs masqué dans certaines manifestations à caractère émeutier ?

Le gouvernement québécois, d’ailleurs directement ciblé («Collabos de la CAQ, garde à vous !», publication de «Montreal Counter Information» en 2019…) ne peut ignorer la menace que constitue pour l’ensemble de la société québécoise, le Réseau des Fascistes postmodernes et sa «Police politique», une structure clandestine présente à Montréal et dans la plupart des régions du Québec.

Cette menace s’est d’ailleurs accentuée, du fait de l’alliance de ces néofascistes avec les organisations pro-Hamas (Frères musulmans) et pro-FPLP («Palestinian Youth Movement») présentes dans le mouvement «pro-palestinien», à Montréal tout particulièrement. Rappelons la série de violences antipolicières depuis octobre 2023 à Montréal, et surtout de récurrentes violences antisémites, qui sont le fait de cette alliance ! On notera aussi, dans cette convergence, des influences françaises : celles de l’organisation néofasciste «La Jeune Garde», celle, raciste/racialiste du mouvement «décolonial-indigéniste» (à l’UQAM en particulier), ainsi que les dérives antisémites du parti-frère de QS, LFI !

Le Réseau néofasciste tente actuellement d’élargir sa base, en infiltrant le mouvement des organismes communautaires, ainsi que des syndicats (CSN entre autres), etc. Alors que les tentatives d’infiltration du mouvement communautaire, avaient relativement échoué jusqu’à présent, il semble que les néofascistes aient réussi certaines percées, à la faveur de la mode d’un soi-disant «antifascisme» ! Ainsi, le 21 mai 2015, alors qu’une milice néofasciste avait tenté de transformer en émeute anti-policière une manifestation du FRAPRU pour le droit au logement, cette provocation avait été mise en échec, à la fois par les organisateurs de la manifestation et la police : avec la présente crise du logement et l’entrisme des néofascistes (dans certains Comités de logement…), le risque de provocation à la violence est plus élevé !

Enfin, le fait que des liens se soient constitués depuis une dizaine d’années entre les Fascistes postmodernes et certains Autochtones «radicalisés», notamment lors du mouvement des Wet’suwet’en en 2021 (appels à du sabotage ferroviaire par «Montreal Counter Information»…), oblige à prendre au sérieux leur récente implication dans la présente crise forestière, avec des actions de sabotage d’ailleurs dénoncées par des dirigeants autochtones en Mauricie !

Il est grand temps que l’État intervienne, et que les citoyens du Québec (militants, commerçants, entrepreneurs, etc.) ne soient plus seuls face à une criminalité néofasciste trop habile à se dissimuler dans la clandestinité organisationnelle (parasitant des associations étudiantes, etc…) et l’anonymat informatique !